À l’honneur en cette Journée internationale de la femme : les directrices du service du marketing de LASIK MD
Nous sommes fiers d’affirmer que les femmes composent la majeure partie non seulement de notre équipe du marketing, mais également de sa direction. Pour souligner la Journée internationale de la femme, nous avons demandé à deux directrices de notre service du marketing de nous parler de leur carrière et de ce que représente pour elles cette journée spéciale.
Ces femmes d’exception sont :
Jessica Lukian Papineau (JLP, à gauche), directrice des marques et des communications
Lisa-Marie Loo (LML, à droite), directrice des partenariats optométriques
Pourquoi avez-vous décidé de faire carrière en marketing?
JLP : Mon cheminement a été plutôt sinueux. J’ai d’abord fait des études en cinéma. De là, mon amour des communications et de l’art m’a menée en marketing, un domaine pour lequel je me passionne et qui m’a permis d’avoir une carrière que j’adore. Je parle beaucoup d’amour, mais c’est réellement le sentiment qui décrit le mieux ce que je ressens au travail!
LML : Après avoir travaillé dans le commerce au détail à l’adolescence et au début de la vingtaine, j’ai eu envie de découvrir comment les entreprises attirent et fidélisent leurs clients. Je me suis donc inscrite au baccalauréat en commerce de l’École de gestion John Molson (Université Concordia) et fait une majeure en marketing.
Qu’est-ce qui vous a attirée à LASIK MD et dans le secteur de la correction de la vue en général?
JLP : J’ai vraiment été attirée par le fait que le siège social de LASIK MD était à Montréal et que l’entreprise soit devenue une marque connue à travers le pays à partir d’une seule clinique de la région. D’un point de vue marketing, j’ai beaucoup aimé le défi que représentait la promotion d’un produit qui est en fait un achat unique.
LML : Il y a 13 ans, le service du marketing de LASK MD en était encore à ses balbutiements, et j’ai remarqué qu’on y recherchait une coordonnatrice média. Puisque je venais tout juste de terminer mes études universitaires, le poste a attiré mon attention. De plus, j’avais des lunettes depuis l’âge de 8 ans, ce qui veut dire que j’en portais depuis 17 ans déjà, alors je comprenais parfaitement la mission, la vision et la clientèle de LASIK MD.
Qu’aimez-vous de votre travail?
JLP : J’adore savoir que je contribue à améliorer la vie des gens. Je suis aussi vraiment privilégiée d’avoir des collègues aussi intéressants, brillants et passionnés.
LML : Avant tout, mes collègues. Ce sont des travailleurs acharnés et passionnés avec qui j’adore collaborer. Bien sûr, aider chaque jour les gens à découvrir qu’ils ont la possibilité d’améliorer leur vision est extrêmement gratifiant, d’autant plus que je constate à quel point l’intervention que j’ai eue a changé ma propre vie. Mais mon équipe est si exceptionnelle, et j’adore tellement la côtoyer au quotidien qu’elle rend mon travail vraiment excitant et important.
Que signifie être une femme, en 2020?
JLP : J’ai la conviction que la femme d’aujourd’hui se doit de promouvoir l’égalité hommes-femmes, de se battre pour toutes les femmes et d’incarner les valeurs et les changements que nous souhaitons voir s’opérer à travers le monde non pas uniquement par rapport à l’égalité des sexes, mais aussi en matière de justice sociale, d’environnement et d’inclusion. Être une femme en 2020 signifie être forte et catalyser le changement.
LML : C’est une bonne question. Je crois que les femmes vivent à une époque très excitante. C’est d’ailleurs mon cas. De nombreuses possibilités s’offrent à nous, tant sur le plan professionnel que personnel. J’irais même jusqu’à dire que toutes ces options compliquent parfois les choix que nous devons faire. Rien ne devrait nous empêcher de faire ce qui nous plaît. Bien entendu, la situation de chaque femme est différente et je ne peux parler que de la mienne, mais je suis fière et me considère comme chanceuse d’être une femme à notre époque. J’ai hâte de découvrir ce que la vie me réserve!
Qui était votre modèle féminin en grandissant? Pourquoi?
JLP : Je ne pense pas que j’en avais un quand j’étais enfant. Je me souviens toutefois d’un superbe t-shirt de Rosie la riveteuse que mon père m’a offert à son retour d’un voyage d’affaires à Seattle au début de mon adolescence. Il était trop grand pour moi, mais je l’ai souvent porté à l’école malgré tout. Vers la fin de mon adolescence, je me suis découvert une passion pour Ani DiFranco. Puis, durant mes études universitaires, je buvais les paroles de Rachel Carson, de Naomi Klein et de toutes ces femmes inspirantes qui osaient débattre d’enjeux importants.
LML : J’aimerais pouvoir dire que c’était une figure historique, mais je dois être honnête : dès mon adolescence, c’est à Buffy la tueuse de vampires que je me suis identifiée; pas à l’actrice Sarah Michelle Gellar ni à Kristy Swanson, mais bien au personnage que ces actrices ont incarné. Buffy était une vraie dure à cuire. Elle prenait les choses comme elles venaient, même si elles bouleversaient sa vie, la forçaient à remettre en question qui elle était et à tout recommencer. Elle agissait selon ses convictions, en gardant toujours la tête bien haute. Elle bouleversait l’ordre établi. Les personnes qui ont regardé la série savent certainement de quoi je parle. Elle faisait tout en ne reniant jamais son style flamboyant. Ses valeurs et ses convictions correspondaient aux miennes.
Cette année, le thème de la Journée internationale de la femme est « Je suis de la Génération Égalité ». Qu’en pensez-vous?
JLP : Le thème de cette année correspond précisément à ce que je disais plus tôt : il faut se battre pour toutes les femmes et exiger les changements qui s’imposent pour faire de notre monde un endroit permettant à chaque personne de s’épanouir et d’atteindre son plein potentiel.
LML : C’est un thème tout à fait sensé. Car si une personne a les mêmes outils et les mêmes possibilités que tout le monde, elle pourra certainement accomplir de grandes choses.